36 ans de pratique de la médecine générale à soigner des familles sur 3 générations, des patients adressés par mes confrères pour un avis et la visite courtoise des déléguées de l’Assurance Maladie avec leur cortège de statistiques sur mes prescriptions.
Médecine générale et homéopathie
Pratiquant la médecine générale depuis de nombreuses années, pour paraphraser le professeur David Khayat dans son dernier ouvrage (L’enquête vérité, vous n’aurez plus jamais peur du cancer, Ed Albin Michel, sept 2018) page 100 de son ouvrage : aujourd’hui, après 36 ans d’expérience, j’affirme que l’homéopathie est efficace.
Médecin de famille, les parents me confient la santé de leurs enfants. Souvent, le premier contact se fait au décours de maladies chroniques (otites, angines, bronchiolites, bronchites…) qui ont nécessité ou pas de nombreuses antibiothérapies sans succès sur les récidives. Devant les résultats thérapeutiques, la contagion se propage à la maman, la grand mère ou le papa. Qui pour ses migraines, son addiction aux psychotropes, son arthrose non améliorée par les anti-inflammatoires qui font mal à l’estomac ou autres bronchites chroniques. La confiance dans la thérapeutique homéopathique, uniquement basée sur les résultats thérapeutiques s’étend à l’école, la voisine, les amis et ainsi, à ce jour 74% de la population fait confiance à l’homéopathie.
La médecine générale se prête bien à cette thérapeutique avec toutes ses pathologies qui mettent en jeu la globalité de la personne , unité somato-psychique incontestable dont la médecine aujourd’hui ne sait que faire.
Mais aussi médecin consultant
30% de mes patients sont adressés par des confrères, faisant de moi un médecin consultant pour un avis sur la possibilité d’un traitement complémentaire homéopathique. Du médecin généraliste pour des problématiques chroniques ORL de l’enfant, un sevrage de tranquillisant ou d’antidépresseur, une douleur chronique qui échappe à tout traitement au spécialiste pour une dysthyroïdie instable, une arythmie mal supportée ou des pathologies bronchiques échappant aux traitements conventionnels, la confiance dans le médecin et sa thérapeutique est entière. La prise en charge de concert avec des confrères hospitaliers de maladies auto-immunes ou orpheline pour améliorer la qualité de vie des patients se fait en toute confraternité.
Une part importante est donnée à la mise en place de soins de support homéopathique pour les patients soignés dans les centres anti-cancéreux locaux.
Une confirmation de l’assurance maladie
Régulièrement, je suis visité, comme mes confrères, par une déléguée de l’assurance maladie. C’est le moment de faire le point sur les recommandations thérapeutiques, les objectifs régionaux de dépense et les indicateurs de prescription. Il n’y a pas photo, les statistiques sont nettement en faveur de l’homéopathie. Les ordonnances d’antibiotiques, anti-inflammatoires, psychotropes, statines sont largement en dessous de la moyenne régionale pour une prise en charge identique.
Ce qui est certain, c’est que la possibilité de prescrire de l’homéopathie quand c’est utile pour mes patients fait de moi un médecin généraliste heureux.
