MonHoméoMonChoix lance une nouvelle rubrique dédiée aux preuves scientifiques

Dans la famille des controverses médicales, celle sur l’homéopathie est probablement l’une des plus anciennes. Les détracteurs de cette thérapeutique répètent inlassablement qu’elle n’aurait pas d’effet et qu’elle n’est pas prouvée scientifiquement. Pourtant, les études qui démontrent son efficacité ne manquent pas, pourvu qu’on ait la volonté d’en prendre connaissance. Afin de leur faciliter la tâche, le site MonHoméoMonChoix lance une nouvelle rubrique dédiée aux preuves scientifiques de l’action biologique de l’homéopathie.

Depuis plusieurs années, les tenants de la médecine classique chantent à l’unisson la prétendue inefficacité de l’homéopathie, une thérapeutique qui convainc pourtant depuis deux générations des patients et des praticiens. Les détracteurs de l’homéopathie arguent qu’il n’existe aucune preuve scientifique solide de son efficacité et qu’elle ne doit cette dernière qu’au simple effet placebo. 

Or, de nombreuses études ont démontré le contraire et ce, partout dans le monde. On n’en parle seulement très peu. Pour valoriser la vérité, l’association MonHoméoMonChoix lance une nouvelle rubrique sur son site dédiée aux preuves scientifiques de l’homéopathie. Et ces preuves abondent.

 

Homéopathie : une action biologique démontrée 

D’abord, des expériences en laboratoire contrôlées et standardisées démontrent que l’homéopathie a une action biologique tangible et reproductible. De nombreux modèles végétaux, cellulaires et animaux le mettent en lumière. On se demande alors comment est-il encore possible d’avancer l’hypothèse d’un prétendu effet placebo.

Par exemple, lorsque des lentilles d’eau sont empoisonnées avec de l’arsenic puis traitées par une solution homéopathie d’Arsenicum album de 17 DH à 33 DH, elles se rétablissent et reprennent leur croissance plus vite que celles traitées avec de l’eau. L’expérience est réitérée plusieurs fois, avec toujours les mêmes résultats, statistiquement significatifs. 

Dans les cellules neuronales en laboratoire, une solution homéopathique de Gelsemium sempervirens 5 CH augmente la production de 5 fois la production d’alloprégnanolone, une hormone qui diminue le stress et l’anxiété. Les solutions homéopathiques sont généralement obtenues suite à des dilutions successives au dixième (DH) ou au centième (CH). Chaque dilution est suivie d’une étape de dynamisation.

 

Homéopathie : une nature unique confirmée 

Différentes techniques utilisées en physique (thermoluminescence, résonance magnétique nucléaire, spectroscopie, etc.) révèlent la nature unique des solutions homéopathiques au-delà de l’aspect moléculaire. 

Ainsi, on peut différencier une solution neutre d’une solution homéopathique, différencier les solutions entre elles et ceci même pour les hautes dilutions. La dynamisation est une étape essentielle du procédé de fabrication des solutions homéopathiques. 

Elle consiste à diluer à plusieurs reprises la teinture mère, tout en l’agitant, afin d’obtenir la hauteur de dilution souhaitée pour le médicament (Ex : 5 CH, 9 CH, 15 CH…). Ce procédé détermine la nature unique et l’activité biologique des solutions homéopathiques. 

 

Homéopathie : des bénéfices patients objectivés 

Des essais cliniques randomisés et contrôlés suggèrent que les traitements homéopathiques, prescrits de manière individualisée, ont un effet clinique 5 fois supérieur au placebo. Des études en vie réelle démontrent également les bénéfices des traitements homéopathiques en première intention ou en complément des traitements conventionnels. Ces études concernaient différentes spécialités médicales comme la neurologie, la dermatologie et la virologie. 

Elles posent les bases d’un faisceau de preuves démontrant l’efficacité clinique de l’homéopathie, au-delà de l’effet placebo. Les résultats doivent être confirmés par de nouveaux essais cliniques de haute qualité.

Par SafeMed

Collectif de patients et professionnels de santé pour une médecine intégrative.