Les plus de 70% des Français qui plébiscitent aujourd’hui l’homéopathie ne s’y trompent pas : ils veulent une médecine différente, celle de demain.

Pour les soins non vitaux qui restent l’apanage de la médecine conventionnelle, plus de la majorité des Français souhaite une médecine de soins quotidiens plus adaptée à leur besoin.

Dit autrement, la population concernée appelle à une prise en charge globale, en accord avec la définition même de la santé, revendiquée par l’Organisation mondiale de la Santé : « la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »

A l’inverse d’un médicament conventionnel, l’homéopathie revendique des traitements peu coûteux, efficaces et non toxiques. Pourquoi alors créer des maladies à partir d’effets secondaires iatrogènes sinon pour les soigner avec des médicaments à effets intégratifs ? On ne peut plus prendre un anti-inflammatoire sans anti-acide, suivi d’un traitement pour la digestion, etc.

La médecine intégrative, qui permet aux thérapeutiques complémentaires de prendre une place dans la médecine de soins, qu’ils soient au quotidien ou de support pour les maladies graves, répond à cette demande. Pourquoi vouloir résister à ce changement, sinon de ne pas prendre en compte les vrais besoins de la population en restant arque bouté sur une position qui prend l’eau.

L’homéopathie, dans la médecine intégrative, répond depuis des décennies à ces besoins de santé.

C’est peut être pour cela qu’elle dérange autant…