Bronchiolite et asthme : homéopathie et réduction des risques

Les pédiatres estiment souvent que, chez les nourrissons et les enfants en bas âge, le jeune patient peut être qualifié d’asthmatique à partir de trois récidives de bronchiolite. Une réalité qui devrait pousser à privilégier très tôt des traitements homéopathiques qui ont fait leur preuve dans la réduction des risques de bronchiolite.

Une étude réalisée en 2004 par une équipe de médecins généralistes et de pédiatres (Étude sur la prise en charge de la bronchiolite du nourrisson en médecine ambulatoire, étude observationnelle prospective à propos de 520 patients) a démontré de manière irréfutable une baisse des risques de récidive à hauteur de 30% pour les patients prenant un traitement homéopathique.

L’exemple de la bronchiolite est symbolique des effets de l’homéopathie en matière de réduction des risques. En soulageant les malades et en réduisant fortement les risques de récidive, les granules permettent aux jeunes malades et à leurs familles d’éviter le développement d’un asthme infantile et d’en limiter les effets à court, moyen et long-terme.

La bronchiolite, comme la plupart des maladies, a bien souvent des causes multiples. Maladie typique de l’entrée à la crèche, elle cumule trois facteurs déclenchants : des attaques virales répétées au contact d’autres enfants, une fatigue accrue et la dimension émotionnelle de la séparation avec la mère.

Autant de facteurs qui déstabilisent les équilibres de l’organisme, a fortiori chez des jeunes enfants, et auxquels l’homéopathie apporte une réponse globale, là où la médecine allopathique se contente le plus souvent de ne traiter que la dimension virale… ce qui explique les risques accrus de récidive.

Dans le traitement de la bronchiolite, les traitements homéopathiques permettent à la fois de calmer les crises aiguës, de soigner sur le court et le moyen terme les symptômes de la maladie, puis de limiter (et stopper) les risques de récidive.

Par SafeMed

Collectif de patients et professionnels de santé pour une médecine intégrative.