Alors qu’on croyait pouvoir retrouver une vie presque normale après la première vague du printemps, nous voici de nouveau confinés depuis fin octobre. Malgré les mesures plus souples qui semblent être préconisées par le gouvernement, ce contexte sanitaire encore tendu accentue irrémédiablement l’anxiété et le stress chez de nombreux Français. Pour ne pas se laisser aspirer par cette spirale négative, chacun doit prendre les commandes de sa santé en vivant mieux. Comment ? Grâce à la médecine intégrative.

Un période d’incertitudes et de craintes

La deuxième vague de l’épidémie, tant redoutée cet été, a fini par survenir. Selon le Conseil scientifique, elle sera probablement plus forte que la première. Concernant sa durée, Emmanuel Macron a récemment indiqué que l’épidémie de coronavirus allait perdurer « au moins jusqu’à l’été 2021 ». Quant à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), elle estime que le virus ne disparaîtra pas avant deux ans. Certains scientifiques affirment même que l’on devra vivre avec ce virus pendant plusieurs années encore. Il se pourrait même qu’elle devienne une maladie saisonnière comme la grippe.

Malgré l’allocution présidentielle de mardi soir, qui s’est voulu positive au regard de la baisse du nombre des contaminations et réanimations, les mesures gouvernementales pour la fin d’année ne laissent plus vraiment de doute planer quant à la reprise de nos vies à la normale : un confinement “allégé” mais un confinement tout de même.

Comme si ces prédictions ne suffisaient pas, il faut aussi composer avec l’incertitude autour de la disponibilité d’un vaccin dans les prochaines semaines.

Autant de mauvaises nouvelles qui font monter d’un cran la psychose et la peur au sein de la population. Le 25 novembre, en s’appuyant sur les données publiées par Santé publique France, le directeur général de Santé, Jérôme Salomon soulignait que “la crise sanitaire du Covid-19 a révélé la vulnérabilité psychique de nombreux Français.”

En effet, une telle épidémie mondiale confronte directement les individus à la mort, ou du moins à une menace de mort. Cette situation peut générer une forte charge émotionnelle très difficile à contrôler, pouvant avoir de nombreuses répercussions sur le plan psychologique. Citons notamment la fatigue émotionnelle, les troubles du sommeil et de l’humeur ou encore une certaine tendance à l’hypocondrie…  Ces symptômes se sont multipliés pendant l’automne, période qui semble donner suffisamment de vigueur au virus malgré les mesures barrières.

Pour l’heure, selon une enquête nationale de Santé publique France intitulée Covi-Prev, 21% de la population était sujet à des états dépressions, soit le double depuis fin septembre.

La médecine intégrative pour une approche globale 

Une prise en charge psychologique est donc indispensable pour aider à surmonter ces répercussions sur le plan mental. Que l’on soit directement concerné par l’épidémie ou non, il ne faut pas hésiter à s’adresser à un professionnel de santé. Les thérapies brèves comme les thérapies cognitives et comportementales (TCC) paraissent particulièrement bien indiquées dans ce genre de situation. Mais, en parallèle de la santé mentale, il convient de veiller sur sa santé physique en continuant d’adopter les bons gestes : en plus de bien suivre les consignes sanitaires de manière générale, pensez à adopter des habitudes saines en vous nourrissant à heure fixe et de manière équilibrée, en effectuant une activité physique une fois par jour et s’aérer…

Il faut continuer à vivre et surtout à mieux vivre. Cela implique de se soigner convenablement, notamment avec la médecine intégrative, qui réunit le meilleur de toutes les approches médicales. Parmi elles, les médecines complémentaires permettent de booster les défenses immunitaires afin d’éviter les nez encombrés, les gorges douloureuses et les maux de l’hiver. L’homéopathie par exemple peut combattre toutes sortes d’anxiétés comme la peur de la maladie, la peur de mourir ou encore la peur de l’hôpital. C’est également une thérapeutique efficace pour lutter contre l’asthme, la fièvre, les difficultés respiratoires et le syndrome grippal avec faiblesse et tendance à la somnolence. En bref l’homéopathie permet de compléter et prévenir l’ensemble des maux que l’on retrouve dans le tableau clinique des patients qui développent des symptômes liés au coronavirus.

Par ailleurs, depuis le début de l’épidémie de coronavirus, de nombreux médecins ont recours aux médicaments homéopathiques pour leurs patients. En l’absence de données parfaitement fiables sur ce virus au sujet de possibles traitements et compte tenu de sa contagiosité, les praticiens font preuve de logique en proposant ces médicaments pour booster le système immunitaire à titre préventif. Cette pratique ne présente aucun danger et s’inscrit parfaitement dans la philosophie selon laquelle il vaut mieux prévenir que guérir.