Quelques « scientifiques » adeptes du credo de la rationalité refusent de penser qu’un médicament homéopathique peut être efficace. Arque boutés sur un dogme qui leur fait dire que s’il n’y a pas de molécules présentes, un médicament ne peut être efficace et relève alors du placebo, ils refusent de regarder la réalité en face : l’homéopathie répond aux questions de santé quotidienne de plus de 50% de la population.

Ces quelques « scientifiques » sont de ceux qui refusent l’adage pourtant bien connu des vrais scientifiques et chercheurs qui dit que « ce n’est pas parce que je ne connais pas que cela n’existe pas ». Cette curiosité inhérente à celui qui accepte de ne détenir ni vérité ni savoir absolu est celle du scientifique tel qu’il devrait toujours être.

Les physiciens et mathématiciens que nous rencontrons rejoignent, dans l’humilité, les tenant de la connaissance de la cellule. L’information intra et extra cellulaire existe. Cette information se fait, entre autre, par la médiation des liquides composant une grande partie de notre organisme. Cette information est aussi infra moléculaire et ceux qui travaillent sur les nanotechnologies le savent.

Il est probable que la réponse à la question lancinante du « comment ça marche » concernant l’homéopathie trouve une réponse dans ce domaine.

Lorsque le seul message « scientifique » rabâché reste : comme il n’y a rien dedans, donc cela ne peut pas être efficace, donc c’est dangereux, donc on éradique, le message devient plus intégriste et sectaire que scientifique.

Les dogmes ont la dent dure et la résistance au changement toujours difficile, surtout lorsque le discours est basé sur une communication partisane plutôt que sur des faits scientifiques.