En quoi l’homéopathie est une médecine naturelle et favorable à l’environnement ?

L’homéopathie, médecine alternative prisée par une majorité de Français, est non seulement bonne pour le corps, mais également pour l’environnement. Contrairement aux médicaments allopathiques, la thérapeutique ne rejette pas de déchets polluants dans la nature. Préparées à base de plantes et de souches minérales fortement diluées, les solutions homéopathiques ne nuisent pas à l’écosystème. D’ailleurs, les animaux aussi en bénéficient, et son utilisation dans l’élevage agricole pour contrer la prise massive d’antibiotiques prouve que les granules sont une alternative crédible à la surconsommation de médicaments.

La médecine homéopathique : au plus près de la nature

L’homéopathie est une médecine douce et responsable. À l’heure où la médecine classique prescrit, pour presque toutes les consultations effectuées, des médicaments allopathiques, l’homéopathie se pose comme le gardien d’une consommation raisonnée de médicaments. Garantie sans effets secondaires pour les patients, elle est aussi sans effets néfastes sur l’environnement, car les substances qui la composent ne génèrent pas de rejets dans la nature.

On retrouve par exemple dans l’homéopathie des souches végétales, qui concernent environ 60% des traitements, ainsi que des souches minérales, tels que des sels ou encore l’argent. D’où le titre de « médecine naturelle » qui lui est souvent attribué. En consommant des granules homéopathiques, les patients sont au plus près des remèdes que l’on retrouve dans la nature. Certaines plantes et certains minéraux sont en effet réputés pour leurs propriétés curatives, c’est le cas de l’écorce de quinoa par exemple, qui fait baisser la fièvre.

Une médecine responsable

En prescrivant massivement des médicaments allopathiques, les médecins classiques participent directement à la pollution de l’environnement. Car si certains médicaments sont en effet indispensables dans le traitement de maladies graves, d’autres, bien souvent les plus consommés, peuvent facilement être remplacés par des granules homéopathiques ou tout simplement un mode de vie plus sain. L’un des problèmes les moins connus de cette surconsommation médicamenteuse, est le fait que les résidus se retrouvent libérés dans la nature.

Aujourd’hui, plus de la moitié des eaux de surface sont polluées par des résidus médicamenteux. Cette pollution est également soutenue par la prise considérable d’antibiotiques dans les élevages agricoles, étant donné que les animaux rejettent eux aussi des résidus directement dans les sols. Lors des pluies, les résidus sont balayés dans les égouts et rejetés dans les océans ou alors s’imprègnent dans les sols et contaminent les nappes phréatiques. Une problématique environnementale capitale, où l’homéopathie serait une solution.

Par SafeMed

Collectif de patients et professionnels de santé pour une médecine intégrative.