Sensibilité au traitement : pas tous égaux face à l’homéopathie

Tous les patients ne répondent pas de la même manière aux traitements homéopathiques, et certains y sont mêmes réfractaires. La cause ? L’homéopathie est une thérapeutique informative et la sensibilité aux informations transmises par les médicaments est très différente d’un individu à un autre.

Si le mode de fonctionnement de l’homéopathie conserve encore ses mystères, les recherches les plus récentes tendent à démontrer que le corps humain comprend et interprète des signaux électromagnétiques qui ne sont pas perceptibles au niveau moléculaire (ce qui explique qu’il n’y ait pas besoin de principe actif pour qu’une thérapeutique soit efficace).

Ces signaux électromagnétiques, sous l’effet des traitements homéopathiques, envoient des signaux au corps humain pour l’aider à rétablir ses équilibres et à combattre la maladie. Hélas, et si cette thérapeutique fonctionne dans la majorité des cas, certains organismes ne parviennent pas à décrypter ces messages ou sont incapables d’y apporter une réponse.

C’est ce que l’on qualifie de question de la sensibilité chez les patients. Certains sont si sensibles, et leur corps tellement apte à répondre, que les médecins prescrivent des doses encore plus diluées que pour les patients ordinaires. D’autres ont besoin de doses plus importantes. Certains, enfin, ne répondront jamais au traitement.

Il y a peut-être un effet inné dans cette résistance aux médicaments homéopathiques, mais on note tout de même régulièrement que les patients réfractaires prennent en parallèle des traitements lourds, notamment à base de cortisone, de neuroleptiques, ou qu’ils ont des addictions lourdes à des substances telles que le café, l’alcool ou les drogues psychotropes.

Ces phénomènes sont intéressants et laissent à penser que les systèmes de régulation (que ce soit endocrinien ou neurovégétatif) des personnes dépendantes ne sont plus à même de répondre aux informations envoyées par l’homéopathie. Le message homéopathique est bien envoyé, mais le récepteur humain est déréglé !

Par SafeMed

Collectif de patients et professionnels de santé pour une médecine intégrative.