Ondes électromagnétiques : clé de l’efficacité homéopathique ?

Les dernières avancées de la science ouvrent des pistes prometteuses pour expliquer les mécanismes par lesquels l’homéopathie agit. Après le généticien et lauréat du Prix Nobel de médecine Luc Montagnier, d’autres chercheurs s’intéressent au rôle des ondes électromagnétiques sur notre organisme. Une théorie en adéquation totale avec les principes de l’homéopathie.

Depuis des décennies, les opposants à l’homéopathie dénigrent la discipline et remettent en cause son efficacité au motif que les mécanismes d’action des granules homéopathiques ne sont pas démontrables en raison de l’absence de principe actif. C’est le point de départ de toutes les critiques à l’encontre de l’homéopathie, qui refusent de prendre en compte l’efficacité démontrée de ses traitements et le travail expérimental dont ils sont issus.

En partant du constat, pourtant antithétique avec tout comportement scientifique, que ce que l’on ne comprend pas ne peut pas exister, ces anti-homéopathie font un procès en légitimité à l’homéopathie en voulant à tout prix l’opposer aux médecines allopathes. Pourtant, les dernières avancées de la génétique et de la biologie tendent à confirmer scientifiquement les inspirations à l’origine de la discipline homéopathique.

L’équipe du professeur Montagnier a mené ces dernières années diverses expériences reproductibles qui démontrent que des ondes électromagnétiques de très basse fréquence (donc de très faible énergie) sont capables de jouer un rôle majeur en termes de pouvoir pathogène des virus et des bactéries.

Ces informations, influant sur la santé, peuvent se trouver sous la forme de messages électromagnétiques produits par certains micro-organismes (bactéries, mais aussi polluants chimiques). Reçues par des cellules sensibles, elles pourraient engendrer des maladies chroniques rhumatismales ou neurologiques comme la maladie de Parkinson ou Alzheimer.

La déconcentration d’une substance potentiellement toxique devient sa force pour faire parvenir aux corps les messages curatifs en fonction de la sensibilité du malade.

Ces recherches ouvrent de nouvelles perspectives pour la compréhension des mécanismes par lesquels les traitements homéopathiques agissent malgré leur extrême dilution (qui élimine tout principe actif) et grâce à l’effet de la dynamisation. En effet, la déconcentration d’une substance potentiellement toxique (principe de base de l’homéopathie) devient sa force pour faire parvenir aux corps les messages curatifs en fonction de la sensibilité du malade.

En reprenant les conclusions du physicien Louis Rey, qui avait déjà démontré l’existence d’une forme physique de l’information transmise par les médicaments homéopathiques, et les travaux de Jacques Benveniste sur la transmission d’information par message électromagnétique, l’équipe du professeur Montagnier souhaite aller plus loin et a lancé un appel aux physiciens pour qu’ils apportent leur contribution.

L’ensemble de ces éléments démontre que la présence moléculaire (principe actif) n’est pas la seule voie de traitement pour un certain nombre de pathologies et que l’homéopathie a un rôle distinct à jouer en tant que thérapie informative. Un organisme sensibilisé par la maladie ou naturellement très sensible est à même de recevoir l’information du médicament homéopathique et de répondre à ce message.

Par SafeMed

Collectif de patients et professionnels de santé pour une médecine intégrative.